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SSRQ FR I/2/8 202.7-1

Sammlung Schweizerischer Rechtsquellen, IX. Abteilung: Die Rechtsquellen des Kantons Freiburg, Erster Teil: Stadtrechte, Zweite Reihe: Das Recht der Stadt Freiburg, Band 8: Freiburger Hexenprozesse 15.–18. Jahrhundert, da Rita Binz-Wohlhauser e Lionel Dorthe

Citazione: SSRQ FR I/2/8 202.7-1

Licenza: CC BY-NC-SA

Madeleine Gobet-Tannaz – Verhör

1677 settembre 30.

  • Collocazione: StAFR, Thurnrodel 16, S. 472–473
  • Data di origine: 1677 settembre 30
  • Supporto alla scrittura: Papier
  • Lingue: francese, tedesco

Testo editionale

ThurnLuogo: A margine, dunstag, den 30ten 7brisseptembrisCambio di lingua: latino 1677SottolineatoData di origine: 30.9.1677
JudexCambio di lingua: latino herr großgroßweibel1

Herr burgermeisterTermine: PythonPersona: , hAbbreviazione Frantz Peter GottrawPersona:

LX hAbbreviazione Pancratz SchröterPersona:
Magdelaine TannaPersona: , veufve de Jacques GobetPersona: ,
en suitte de la sentence du 28me du presentData di origine: 28.9.1677, revestue
d’un habit neuf, lequel a esté beni par monsrmonsieur
le curé, et visitéeTermine: par l’executeur de
la justice
Termine:
sur la marque diabolicqueTermine: , iceluy
a declaré n’en avoir point trouvé en elle.
Interrogée sur les poincts contenus dans l’examen,
les a derechef tous niés.
De plus si elle n’avoit cogneu Lusa CrottaPersona: de MiddesLuogo: ,
a dict que non, et soustenu ne l’avoir jamais
frequentée ny parlé à elle. Et luy ayant
esté proposé qu’elle l’accusoit d’avoir esté
à la secteTermine: avec elle, en un lieu dict au
BugnionLuogo: , entre TornyLuogo: et MiddesLuogo: , dict qu’elle
luy faict tort. Et luy ayant esté representé que c’estoit depuis l’execution de
Pierre PeitierPersona: 2, elle a respondu que ladite
CrottaPersona: avoit estéCorrezione all’altezza della riga, sostituisce: seulema prise d’abord après
le supplice dudit PeitierPersona: .
Interrogée si elle n’avoit donné des griettesTermine:
à Marguerite HornerPersona: lors servante de
monsrmonsieur PythonPersona: , desquelles estoit devenue
malade, nioit au commencement de l’avoir
cogneue, mais en après l’a confessé, mais
nié de luy avoir jamais donné des griettesTermine: .
Interrogée si elle n’avoit pas cogneu et frequenté
Jacques BugnionPersona: , FranceisazPersona: sa femme, George
Bugnion
Persona:
et David LevanchyPersona: 3, le confesse,
mais seulement en chemin faisant, et ne
[p. 473]Interruzione di paginales avoir jamais frequenté, ny esté à la secteTermine:
avec eux.
Interrogée de quelles maladies estoyent morts ses
maris, dict qu’ils sont morts de leur mort naturelle, ayant esté malades en tout leur corps.
Et luy ayant esté representé que leur mort
avoit esté un peu precipitée, dict en avoir
esté bien marrieTermine: , mais qu’il en mouroit bien d’autres, nommant feu monsrmonsieur PetolatPersona: . Surquoy ayant
esté dict qu’elle l’avoit peut estre faict mourir,
l’a nié. Et luy ayant esté proposé pourquoy
elle citoit la mort dudit srseigneur PetolatPersona: et d’ou
elle le cognoissoit, a dict qu’elle le cognoissoit
pour luy avoir souvent vendu des poullesTermine: ,
des oeufsTermine: et autres choses pour sa taverne,
l’ayant regretté parcequ’il la payoit bien.
Touttes quelles declarations et negatives, elle
a soustenu en trois elevationsTermine: au demy quintalTermine: , suivant quoy le tout debvra estre
representé à L ELeurs Excellences pour attendre la dessus
leur volonté ulterieure.

Annotatione

  1. Correzione all’altezza della riga, sostituisce: seulem.
  1. Gemeint ist Joseph ReynoldPersona: .
  2. Pierre PeityPersona: , Ehemann der Pernette Peity-SugnauxPersona: , wurde im Juli 1677 in Middes als Hexer verurteilt und auf dem Scheiterhaufen verbrannt. Zu seinem Urteil vgl. StAFR, Ratsmanual 228 (1677), S. 214.
  3. Georges Bugnion und David Lavanchy wurden beide von Pierre PeityPersona: denunziert jedoch später wieder freigelassen, vgl. StAFR, Ratsmanual 228 (1677), S. 224.